Plusieurs associations et composantes de la société civile à Sidi Bouzid ont dénoncé, samedi, “les surenchères politiques”, résultant des récents incidents qu’a connus la région, ces derniers jours. Elles ont refuté toute implication des habitants de la région dans des incidents et conflits “qui ne visent qu’à semer le désordre”.Dans une déclaration commune, elles ont affirmé que les évènements survenus les 8 et 9 août, même s’ils” consacrent la liberté d’expression et d’opinion”, ils n'”engagent que leurs auteurs”.
Elles ont ajouté que les personnes qui sont à l’origine de ces évènements sont “des profiteurs de la révolution” qui ont échoué au cours des dernières années, à présenter des alternatives et des solutions efficientes pour la région.
Cette déclaration émane de :
-L’association régionale pour le développement et l’action sociale.
-L’association “citoyenneté pour le développement des processus démocratiques”.
-L’association “développement et intégration”.
-L’association “silence”-Samt-(voix du citoyen).
-L’associatif “Wifaq” (consensus).
-L’association “Afek” (horizons) pour la coopération sociale contre le chômage
-L’association “libéralisme et innovation”.
-L’Association “Rayane” pour l’environnement et le développement.
-L’association de protection et de soutien social.
-L’association “Manara” pour le développement à Sidi Bouzid.
-L’association “Karama” (dignité).
-L’association liberté et développement.