
Si Monsieur Mustapha Kamel Nabli s’estime victime d’un licenciement abusif, il doit lancer un procès devant le tribunal et expliquer les circonstances de l’affaire et indiquer les sommes qu’il souhaite obtenir de son employeur pour réparer le dommage qu’il subit en raison du licenciement.
L’UGTT (les syndicats sont les premiers partenaires de négociation) doit prendre part au procès et ainsi Monsieur Moncef Marzouki n’aura aucune chance d’imposer sa volonté sans arguments acceptables (du pur despotisme inconscient de la part de Monsieur Moncef Marzouki).
Cette affaire qui parait banale peut déséquilibrer le gouvernement et même toute la stabilité de la Tunisie!
En Tunisie, on ne rigole pas avec les syndicats… Ce qui est grave c’est la manière dont le licenciement a été géré par le président de la République !
Commentaire de Dr. Jamel Tazarki à l’article Tunisie – Assemblée Constituante – BCT : Les « vraies » raisons du limogeage de Mustapha Kamel Nabli




