
Des mesures urgentes ont été prises pour débloquer la situation, a-t-il indiqué, citant à ce propos, le retrait des badges délivrés aux bloggeurs et aux activistes dans les réseaux sociaux et l’ouverture par le comité d’organisation du congrès d’une enquête à cet effet. Le manque d’expérience, la fatigue subie par les organisateurs et les pressions exercées par les familles des disparus qui ont saisi l’occasion pour faire connaître leur cause auprès de l’opinion publique, sont autant de facteurs qui ont concouru à cet incident, a-t-il expliqué aux médias.
Certains journalistes ont été empêchés, samedi matin, de filmer l’état de désordre qui régnait dans la salle des congrès, en raison des protestations des familles des disparus. L’Association nationale des jeunes journalistes (ANJJ) a publié, un communiqué dans lequel elle exprime l’indignation envers ce qu’elle qualifie d'”agression”, prenant acte de la compréhension du porte-parole du congrès vis-à-vis des revendications des journalistes et des mesures prises à cet effet.
WMC/TAP




