Après le récent limogeage du directeur de la télévision nationale TTN1 Sadok Bouabène et la nomination par le gouvernement de neuf nouveaux directeurs à la tête de radios publiques, la menace de l’indépendance des médias publics tunisiens devient plus grande. Mercredi 4 juillet, l’INRIC, organe chargé de la réforme du secteur médiatique se saborde et accuse le gouvernement de censure.
Source: Tekiano