De son côté, Ridha Ben Sâad, secrétaire général du syndicat des inspecteurs de l’enseignement secondaire a indiqué que plusieurs professeurs considèrent que certains sujets n’auraient pas dus être inscrits aux épreuves du bac.
Il a cité le texte de l’opposant syrien Borhen Ghalioun que les candidats ont eu dans l’épreuve de la pensée islamique, mettant l’accent sur l’impératif de tenir les examens nationaux loin des considérations politiques et idéologiques.
Ben Sâad a, également, appelé à revoir la composition des commissions chargées de choisir les épreuves des examens nationaux.