
Mme Habiba Mizouni a fait savoir que ces revendications sont axées sur la nécessité de trouver des solutions urgentes pour améliorer les conditions de travail et promouvoir la qualité de soins dans les hôpitaux publics et en particulier dans les centres hospitalo- universitaires.
Elle fait part de l’attachement à l’hôpital universitaire, seul garant de la qualité des prestations de santé et de la formation des médecins Tunisiens. Elle a mis l’accent sur la nécessité de reconnaître le rôle du corps des hospitalo-universitaires qui assure, en plus de l’activité de soins, une activité de recherche, d’enseignement et d’encadrement à la fois théorique et pratique.
Elle a ajouté que les médecins et les pharmaciens hospitalo-universitaires revendiquent la régularisation de leur situation par la valorisation de leurs activités de soins et un alignement au corps universitaire de toutes les activités d’enseignement, d’encadrement et de recherche. Ils demandent de trouver des solutions concrètes à la violence en milieu hospitalier à travers le renforcement de la présence des forces de sécurité autour des établissements hospitaliers.
WMC/TAP
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