Tous les analystes s’accordent à dire qu’il nous faut réussir un taux de développement d’au moins 6% pour prétendre créer les 80 mille emplois dont parle Dimassi, alors que la situation est complètement différente, en tout cas selon l’analyse du Dr Moez Joudi, président de l’Association Tunisienne de Gouvernance, qui affirme que la situation reste tendue avec des marges de manœuvre qui deviennent de plus en plus réduites.
Ainsi, le déficit courant pointe à 6%, la croissance a été négative durant 2011, elle a même été corrigée à -2.2 % et une accentuation de la baisse de l’activité se fait de plus en plus ressentir, notamment dans les secteurs des industries manufacturières (-3,9%) et des services (-4,7%).
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