
Le président de l’INRIC a par ailleurs souligné que les décideurs, les pouvoirs exécutif et législatif et la société civile doivent prendre connaissance du rapport, expliquant que “la réforme de l’information exige de connaître tous les dépassements commis à l’encontre de la presse au cours des deux dernières décennies, entre destruction des institutions médiatiques et musellement de la presse”.
Il s’est, en outre, félicité de “la volonté politique annoncée d’adopter ce rapport comme base d’un dialogue sérieux et constructif sur la réforme de l’information en Tunisie“.
WMC/TAP
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