
En effet, a-t-il ajouté, ”les méthodes de torture et de répression utilisées à l’encontre des militants sont variées et différentes selon le crime commis, d’où les tortionnaires font recours à tous les moyens de menace envers les prisonniers d’opinion”.
”Coloquinte”, met en lumière les séquelles morales et physiques émanant des violations commises sur les torturés dans les prisons tunisiennes, depuis 1956 jusqu’au 14 janvier 2011.
Pour montrer que le militantisme ne concerne pas uniquement certaines personnalités politiques et que la patrie est pour tous, le réalisateur a, dans son film, fait participer des prisonniers d’opinion inconnus sur la scène politique.
WMC/TAP
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