
« La multiplication des actes de violence par des groupes salafistes qui se livrent à toutes les formes de violence et de terrorisme représente une grave menace contre la sécurité publique et une violation criante de la primauté de la Loi qui garantit les droits et les libertés fondamentales », indique pour sa part la Ligue Tunisienne de Défense des Droits de l’Homme (LTDH).
Elle fustige, également, l’instigation à l’assassinat du porte-parole du réseau « Dostourna » Jawhar Ben M’barek, qui, estime-t-elle, représente « un grave précédent dans la Tunisie post-révolutionnaire ».
(Source : TAP)





