Le jour où le gouvernement de Hamadi Jebali a nommé Tarak Dhiab à la tête d’un ministère, j’ai compris que la révolution est perdue d’avance. Les propos avancés par Tarak Dhiab ne m’étonnent pas. A mon avis, ils demeurent sans fondements, vu qu’ils émanent du raisonnement d’un inculte.
Mais ce qui m’a scandalisé c’est qu’il se permet de critiquer l’ancien premier ministre, Mr. Béji Caïd Essebssi.. Pour critiquer quelqu’un il faut être à sa hauteur, “Mr le ministre” !
Commentaire à l’article Tunisie – Politique : Les nouvelles méthodes d’Ennahdha