
Ben Younes a également fait part aux médias de son expérience avec les fondamentalistes. Contrairement aux leaders tunisiens, il choisit de ne jamais utiliser le mot islam, islamiste, musulman ou croyant quand il parle d’eux: «Je n’utilise que fondamentaliste ou fondamentalisme. L’islam est à nous autant qu’à eux. Nous sommes de vrais musulmans, de cet islam pacifique qui remplit de pardon et de compassion. Eux, sont des politiques qui, sous un voile de religiosité, veulent le pouvoir et utilisent toutes les méthodes pour l’obtenir». En Algérie, ils ont utilisé la violence tuant plus de 44 journalistes. Le pays a plongé dans un tourbillon infernal qui a coûté la vie à 200.000 personnes et 15 ans de traversée de désert.
– L’expérience algérienne avec les fondamentalistes




