
Seulement, il s’agit là, nous disent plusieurs avocats, d’une décision politique et non une sentence, prononcée dans les tribunaux du pays. Qui planchent, depuis le triomphe de la révolution de la liberté et de la dignité, sur des milliers de dossiers, liés aux pratiques prédatrices des sbires de l’ancien régime.
En fait, loin d’être assujetti aux lenteurs de la machine judicaire, comme beaucoup d’hommes d’affaires tunisiens, rackettés sous le règne de Ben Ali, cheik Salah El Kamel obtient gain de cause à la vitesse de l’éclair. Par la grâce de la main du prince.
Imed




