
Quelque 52 partis appartenant à la mouvance centriste, libérale et de gauche, aux côtés de 525 associations, de nombreux hommes d’affaires et de personnalités nationales indépendantes ont confirmé leur participation à cet évènement, a précisé M. Hamrouni.
Le choix de Monastir pour abriter cette rencontre revêt une dimension symbolique puisqu’elle fût la ville où s’est déclenché le mouvement national, a souligné le président de l’Association de la pensée bourguibienne qui a annoncé l’organisation, à l’initiative des sections régionales de son association, de rencontres similaires dans d’autres régions du pays.
L’organisation de cette conférence vise à rapprocher les vues entre les partis et les composantes de la société civile « sans exclusion » et à mettre fin à l’atomisation de la scène politique afin de se concentrer sur l’avenir du pays aux plans politique, économique et social, a-t-il relevé.
Il convient de noter que Béji Caïd Essebsi a rencontré mercredi 14 mars 2012 à Tunis plusieurs personnalités nationales dont des ministres de l’ancien gouvernement. Ont également pris part à cette réunion plusieurs responsables de partis politiques représentant notamment le Parti démocrate progressiste (PDP), Afek Tounès, le Mouvement Ettajdid et le Parti du travail tunisien (PTT).
Le coordinateur général du Mouvement Ettajdid Boujemaa Remili, a indiqué vendredi à la TAP que cette réunion qui était selon lui « informelle » et de « concertation » a été l’occasion d’échanger les vues sur la situation politique dans le pays et d’examiner « les perspectives d’organiser une conférence nationale pour réfléchir sur les moyens d’assurer la réussite du processus démocratique en Tunisie ».
WMC/TAP




