
Il a mis en exergue l’indifférence du gouvernement devant les agissements des salafistes dans l’enceinte universitaire, les établissements scolaires et l’espace public en général. Ce qui met la société politique et civile du pays dans l’obligation historique de renverser les rapports de force, issus du scrutin du 23 octobre 2011.
Pour notre interlocuteur, le pays a plus que jamais besoin de consensus pour mener à bien la 2ème période transitoire en cours. Or, dit-il, la troïka au pouvoir donne l’impression de faire fi de l’Assemblée Constituante et des doléances de l’opposition.
Imed




