Ce qui est entrain de se mettre en place avec ou sans médias c’est de la « Particratie » ou si vous préférez de la démocratie mais sans le peuple.
Le point fondamental est de permettre la responsabilisation et le droit du citoyen à intervenir en permanence aux côtés des autres pouvoirs et institutions de l’Etat pour proposer, s’opposer et faire appel au peuple pour trancher par dessus l’épaule de ses responsables.
Donc pour parler de démocratie réelle pacifique, il faut que constitutionnellement, on instaure le droit de tout citoyen à l’initiative populaire et celui du peuple au référendum.
Le journalisme comme le reste ne peut se soustraire, ni soustraire au pouvoir du peuple souverain.
Commentaire de Mohamed Al Mazri CHOUK à l’article Journalisme : Le destin de la démocratie en Tunisie est en jeu