Réunis autour du Syndicat national des journalistes tunisiens, les participants expriment leur colère face aux attaques envers la profession.
C’est le cas d’Aymen Rezgui (membre syndicat): “nous avons besoin d’une stratégie pour contrer ces attaques contre des journalistes“; Néjiba Hamrouni (présidente du SNJT: “nous devons documenter ces attaques“; Zied Heni: “nous refusons toute tutelle sur les médias“, et ajoute que “les déclarations du ministre de l’Intérieur, Ali Laaridh, sont irresponsables. Les nouveaux politiciens n’ont pas à nous donner des leçons sur la démocratie. Nous étions présents avant le 14 janvier. Nous ne sommes pas des traitres“.