D’après des sources concordantes, le quart des terres, destinées traditionnellement aux grandes cultures céréalières, a été exploité, cette année, comme il se doit. A cause tout d’abord des pluies incessantes des mois de novembre et de décembre 2011, qui ont emporté, affirment des agriculteurs, les semonces. Et de la confusion et de l’atmosphère délétère tout autour des terres domaniales (des milliers d’hectares).
En effet, après la révolution du Jasmin, les sociétés de mise en valeur des terres domaniales (SMVDA) ont été empêchées de vaquer à leurs occupations. De semer. De labourer. De produire. A cause des mouvements de protestation des populations des alentours, qui mettent en cause le principe des allocations, pratiquées sous l’ancien régime.
Imed