
Slimane Chaouachi, professeur en théologie et histoire des religions, a indiqué que le vide religieux est dû aux positions d’Habib Bourguiba qui a tenu à instaurer un Etat laïc et que ce système a été suivi par le régime de Ben Ali et soutenu par le ministère de l’Education sous le règne de Mohamed Charfi.
De son côté, Neila Sellini, professeur de civilisation islamique a déclaré que suite à la venue de Wajdi Ghoneim en Tunisie, plusieurs filles ont été excisées.
« Le ministre des Affaires religieuses est “Salafiste” et n’appartient pas à Ennahdha » a-t-elle ajouté.
Par ailleurs, Cheikh Abdelfattah Mourou a souligné que ces prédicateurs sont loin de comprendre que la Tunisie est un pays civilisé et que leurs visions des choses ne correspond pas à nos traditions et à l’Islam.
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