
Les Tunisiens, après une année horribilis sur le plan économique (-1,8% de croissance en 2011), s’attendaient plutôt à une traque des dépenses futiles, liées au paraître et à l’égo démesuré des uns et des autres.
D’après certaines sources bien informées, rarement dans l’histoire de la fonction publique tunisienne un membre d’un cabinet ministériel aurait disposé de telles faveurs.
Imed




