
La polémique déclenchée par quelques séquences, durant laquelle l’héroïne du film s’adresse à dieu, a donné lieu à une poursuite judiciaire pour « atteinte aux valeurs du sacré, atteinte aux bonnes mœurs et trouble à l’ordre public ».
Nabil Karoui, directeur de la chaine Nessma, la responsable de la traduction du film en arabe dialectal et le responsable du visionnage sont accusés dans cette affaire. Les peines encourues peuvent aller jusqu’à cinq ans de prison.
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