“Il n’a pas pu résister aux attaques calomnieuses et diffamantes de la part des médias, il a fini emporté par une crise cardiaque » a déclaré un proche du défunt Abdelfattah Amor, président de la commission nationale d’établissement des faits sur les affaires de malversation et de corruption.
Abdelfattah Amor avait à maintes reprises, déploré la manière dont certains journaux le traitait ainsi que sa commission s’acharnant sur ses membres et les dénigrant à tout va. Il y en a parmi les “voyous” impliqués dans des affaires louches qui auraient acheté certains journaux pour s’atteler à dénigrer tous ceux qui s’attaquent à eux.
Il est regrettable que dans la Tunisie qui découvre récemment la liberté d’expression, il existe des feuilles de choux qui ne respectent ni la profession, ni la personne humaine allant jusqu’à attaquer les personnes dans leurs intégrité physique et morale et sans aucun égard pour leurs familles ou leur image.
Il est temps que le syndicat des journalistes et celui des directeurs de journaux prenne des positions claires quant à ces pratiques peu respectables et indignes du métier de journaliste.
Paix à votre âme Si Abdelfattah.
A.B.A