“Ce sont les jeunes qui sont les plus nombreux à bouder les élections, les chiffres qui commencent à sortir le prouvent”, a déclaré Mohsen Marzouk, président du centre Kawakibi pour la transition démocratique lors de la conférence de presse organisée mercredi 21 décembre sur les outils technologiques qui pourraient soutenir la constituante parallèle dans son action civique.
Il faut veiller à ce que l’espace public reste l’apanage de la société civile et consacre la liberté de s’exprimer et de manifester. “Il est dangereux de véhiculer des messages faisant croire que toute critique vise à déstabiliser la constituante ou le gouvernement. C’est revenir là où nous étions et nous réduire à de simples sujets sans aucune aptitude ou capacité à évaluer ce qui se passe autour de nous”.