Entre la mort de Kim Jong-il, dictateur nord–coréen , samedi 17 décembre à 8 h 30, heure locale, et l’annonce de son décès par la télévision officielle nord-coréenne, lundi à midi, plus de 51h se sont écoulées.
Deux jours durant lesquels la Corée du Sud voisine n’était au courant de rien, sans parler des Etats-Unis.
La Chine, les Etats-Unis et le Japon ne semblent pas en avoir été conscients non plus”, s’est défendu Le patron du Service national de renseignements (NIS) Won Sei-Hoon.
En réalité, pas un service de renseignements dans le monde n’a été au courant de la mort du dirigeant avant lundi.
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