Estimant que la politique des militaires, chargés de gérer la transition, est similaire à celle de Hosni Moubarak, les manifestants réclament le départ du général Tantaoui, le président du Conseil suprême des forces armées égyptiennes.
Quinze personnes au total sont mortes lors des affrontements: treize hier au Caire et deux dans la nuit de samedi à dimanche, l’une dans la capitale égyptienne et l’autre à Alexandrie (nord).
Ces affrontements se déroulent à une semaine du début, le 28 novembre, des premières élections législatives depuis la chute en février du président Hosni Moubarak, poussé au départ par une révolte populaire.
(AFP)
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