Après les Tunisiens de Hong Kong qui estiment que même s’ils ne sont pas nombreux, personne n’a le droit de les empêcher d’exercer leur droit de participer aux élections, allant même jusqu’à proposer de prendre en charge les frais d’organisations de ces élections à Hong kong.
Les Tunisiens installés en Corée du Sud n’admettent pas, eux aussi, cette situation et sont prêts à aller en justice pour exiger qu’on leur donne la possibilité de voter.
Un autre Tunisien de s’exclamer: «Et ici, aux Iles Tuamotou : je suis seul, et alors?».
Alors que les Tunisiens de Chine auront la possibilité de voter à Pekin, les résidents d’autres pays seront probablement dans l’impossibilité de le faire, notamment en Indonésie.
On aurait pu quand même envisager une solution exceptionnelle de vote à distance pour ces chers Tunisiens du bout du monde, non?