“Si la corruption a autant gangrené la Tunisie, c’est bien parce que les politiques y ont œuvré de toutes leurs forces. La corruption s’es propagée parce que la volonté politique y était et la protégeait même puisqu’elle en profitait.
D’où l’importance de réformes politiques et la mise en plus de nouvelles législations servant une sratégie nationale et globale de lutte Anti-corruption”.
La déclaration est de Ahmed Achour, ancien président de l’Organisation arabe du développement administratif à l’occasion de la conférence internationale: «Corruption et malversation: que faire ?» organisée par la Commission Nationale d’Investigation sur la Corruption et la Malversation du 22 au 24 septembre à Hammamet.
Les réformes doivent toucher l’administration en verrouillant les opérations et transactions qui se rapportent aux dépenses publiques et aux relations avec les acteurs du secteur privé. Elles doivent également concerner les lois et les législations et impliquer les médias et la société civile.
A.B.A