Le secteur privé doit être aussi concerné par la lutte contre la corruption que le secteur public, car on ne peut en aucune manière réussir tout programme de prévention ou d’éradication des mauvaises pratiques et de malversations en s’intéressant uniquement aux agents publics.
“Pour que la lutte soit efficace, il faut élaborer une stratégie nationale globale et intégrée. Elle doit être basée sur l’adaptation du cadre juridique et la mise en place de mécanismes de lutte conçus localement et non greffés sur ce qui existe. La société civile, les partis politiques et les médias doivent être associés” a indiqué Khaled El Mejri, membre de la Commission Nationale d’Investigation sur la Corruption et la Malversation à l’occasion de la Conférence internationale :«Corruption et malversations : que faire ? » organisée du 22 au 24 septembre à Hammamet.
A.B.A