La Tunisie n’incrimine pas un acte ou un délit de corruption commis entre deux privés. Or tout acte répréhensible doit être dénoncé et sanctionné, a déclaré Mehdi Ben Mostapha, régulateur dans la structures des affaires juridiques et internationales au CMF lors de la Conférence internationale :« Corruption et malversation : que faire ? ».
A.B.A