“Nous espérons à travers les investigations de la Commission, pouvoir rendre justice aux universitaires surtout ceux responsables de centres de recherches scientifiques” a déclaré Mohamed Ayadi, juge au tribunal administratif et membre de la Commission Nationale d’investigation sur les affaires de Corruption et de Malversations.
C’était lors de la Conférence internationale : « Corruption et malversation : que faire ? » organisée du 22 au 24 septembre à Hammamet. “La commission a reçu plus de 10 000 dossiers dont 4 000 ont été étudiés : Nos travaux dans la commission nous ont permis de découvrir les agissements au sein des universités surtout dès qu’il s’agit de recherches scientifiques, nous souhaiterions pouvoir les mettre à nu et participer à leur éradication”, a t-il indiqué.
A.B.A.