Le ministère de la Justice rappelle, dans un communiqué publié lundi, que toutes les plaintes et lettres anonymes qui lui parviennent ne sont pas recevables.
Les plaintes anonymes “ne peuvent pas être prises en compte tant qu’elles ne contiennent pas des informations claires et justifiées sur l’identité et l’adresse de l’expéditeur permettant de le contacter”, précise le communiqué.