Lorsque tous les comptes seront apurés, il y a à parier qu’on trouvera que la plupart des hommes politiques français, de gauche et de droite, petits et grands, ont bénéficié des largesses du régime Ben Ali.
Après MAM et les autres, le nouveau Défenseur des droits, Dominique Baudis, nommé le 22 juin 2011, aurait lui aussi, selon Medipart cité par 20minutes.fr, “bénéficié pour plus de 36.000 euros de notes de frais indues lorsqu’il présidait l’Institut du monde arabe (IMA), à Paris“.
A qui le tour?