A cette date ils sont 94 partis en exercice, sans compter les 31 nouvelles demandes de partis en cours d’examen par le ministère et les 118 demandes avaient été rejetées.
Les rejets ont été motivés par la non-conformité aux dispositions de l’article 3 de la loi sur les partis qui interdisent que la demande de formation d’un parti soit basée, au niveau des principes et des objectifs, sur la religion, la langue, le sexe ou la région.