La commission sur la corruption et les malversations économiques vient de soumettre au gouvernement de transition, un draft proposant la mise en place d’un cadre légal et d’une structure permanente de lutte et de prévention contre la corruption et les passe droit.
Dans le même ordre idée, la commission a proposé de légiférer pour protéger les “dénonciateurs” qui dénoncent des pratiques malsaines au sein de leurs entreprises ou administrations. Le principe est que dès qu’il s’agit des hauts intérêts du pays, la dénonciation représente un acte citoyen et ne doit pas être condamnée par une “soit disant” morale populaire qui dit “inchalla bleh iji Ala ghir idaya”.