Lors de la conférence de presse organisée par l’INS (Institut National des Statistiques), la méthodologie de mesure du taux de chômage a été abordé.
Selon les dirigeants de l’INS, la méthode appliqué s’aligne sur les standards du Bureau International de Travail, elle considère comme chômeur:
la personne qui n’a pas travaillé durant la semaine précédent l’interview, le chercheur de travail durant le mois précédent et celui qui affirme sa disponibilité pour trouver un travail durant les deux semaines après l’interview. On y a ajoute un autre critère qui prend en compte le chômeur à la recherche active d’emploi, soit par inscription au bureau d’emploi ou par l’envoi de demandes d’emploi, etc.
La prise en compte de cette méthode depuis 2005 a permis d’abaisser le taux de chômage de 14,1% à 13%, soit 50 mille chômeurs de moins. Un constat qu’on considère comme décalé de la réalité sociale où un bon nombre occupent un travail saisonnier, provisoire ou ouvrier; ils sont donc dans la précarité puisqu’ils vivent au jour le jour et n’ont pas de travail stable.