Une fois son crime commis, le malfaiteur cherche à éviter d’éveiller les soupçons lorsqu’il dépensera l’argent issu de ses crimes. Il utilisera ainsi plusieurs techniques qu’on appellera communément du «blanchiment d’argent»: il va ainsi «inventer» une origine licite aux sommes dont il dispose ou essayer de cacher le lien entre ses activités criminelles passées, ou en cours, et les revenus qu’il en tire par la suite. C’est de cette thématique et d’autres que discuteront les participants à la conférence internationale sur la transparence financière et économique mercredi 25 mai à partir de 08h30 à l’hôtel Acropole – Les Berges du Lac.
La lutte contre le blanchiment a nécessité une réponse concertée au niveau mondial, et c’est le Groupe d’action financière (GAFI) -un organe intergouvernemental- qui a été chargé de coordonner les efforts dans ce domaine.
– Conférence organisée par WMC et le CJD – Lire l’article