Il a indiqué que le conseil “a fait part de son étonnement des déclarations infondées de l’ancien ministre de l’Intérieur et qui sont de nature à alimenter les suspicions et les doutes, à provoquer les sensibilités régionalistes et à porter atteinte à l’institution militaire qui bénéficie de la confiance du peuple, pour son rôle dans la protection du pays, des citoyens et du régime républicain”.
Le porte-parole officiel du Conseil des ministres n’a pas voulu répondre aux questions des journaliste notamment sur “l’intervention musclée” contre les citoyens et les journalistes, au cours des manifestations du jeudi. “Je n’ai aucun commentaire à ce sujet”, a-t-il dit.