Le médecin légiste ayant examiné la dépouille du petit Yassine, kidnappé et assassiné, mardi 17 mai 2016, dans le quartier de Mellassine par un sergent de l’armée nationale, a déclaré lors d’un compte rendu que la victime a bel et bien été égorgée par un morceau de verre, ce qui a causé sa mort sur le champs. Mais selon lui, la victime ne portait aucune trace de violence sexuelle comme cela a été relayé par les médias.
Or, lors de son interrogatoire, l’assassin a avoué avoir fait des attouchements sur des parties intimes de la victime.