Trois élections organisées après la révolution, dont deux organisées par l’ISIE actuel et une évaluation largement positive quant à la qualité de ces élections et leur transparence en présence d’organisations de la société civile, d’observateurs des partis politiques et d’organismes internationaux.
Marzouki qui n’a nullement contesté la défaite de son parti, le CPR, aux élections législatives commence sa campagne du 2ème tour de la première élection présidentielle en invoquant le risque de falsification des résultats d’une élection qui n’aura lieu que le 21 décembre 2014.
La chose est grave et est à même d’enflammer ses sympathisants avant et après les élections en cas de défaite du candidat Marzouki, l’ISIE devrait réagir et mettre un terme à ce type de discours. On se rappelle l’insistance de son équipe sur l’existence d’une fraude au bulletin tournant malgré les affirmations et les assurances de l’ISIE et les multiples rapports des observateurs sans compter le désaveu du tribunal administratif qui a fini par rejeter tous ses recours.