Une employée d’une société d’intérim française a été licenciée parce qu’elle se connectait trop souvent à Facebook depuis son travail. La cour d’appel de Pau a validé ce licenciement au début de l’été.
Les juges ont estimé que “les connexions très fréquentes, durant les heures de travail, à des sites communautaires tels que Facebook” et l’utilisation de sa boîte mail personnelle étaient un motif valable de licenciement.
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