
Pour sortir de la crise malienne, “l’Algérie doit être au centre de la solution” a insisté ce responsable américain.

Tout en privilégiant la négociation, Alger n’exclut plus le principe d’une opération armée à la condition qu’elle soit exclusivement africaine et qu’elle n’y participe pas directement.
Dotée d’une armée puissante, Alger dispose de renseignements et d’une expertise indéniable en contre-terrorisme pour avoir combattu pendant dix ans le Groupe islamique armé (GIA) dont Aqmi est une émanation, et d’une influence auprès des Touareg pour avoir plusieurs fois facilité des pourparlers entre l’Etat malien et la rébellion.
Très prudent sur la visite de Mme Clinton, le ministère algérien des Affaires étrangères s’est contenté d’annoncer des entretiens “sur la consolidation du partenariat économique et sécuritaire entre les deux pays ainsi que sur les questions de l’actualité régionale et internationale”. (Source: AFP)




