Lorsque les Nations Unies ont demandé à la Tunisie de nommer un candidat au sein du sous-comité de lutte contre la torture, le chef du gouvernement Hamadi Jebali a proposé Saïda Akremi (épouse du ministre de la Justice Noureddine Bhiri), secrétaire générale de l’Association internationale de soutien aux prisonniers politiques (Aispp).
Le président de la République, Moncef Marzouki, a suggéré la candidature de Radhia Nasraoui, présidente de l’Organisation tunisienne de lutte contre la torture (Otlt) et célèbre militante des droits de l’homme.
Résultat de ce désaccord entre Jebali et Marzouki, la Tunisie a perdu une place au sein du sous-comité de lutte contre la torture.
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