
Si les avis sont partagés sur la divergence ou la convergence entre sport et jeune, il demeure indéniable que la conciliation entre devoir religieux et exercice physique endurant est difficile, surtout à un niveau aussi haut d’une compétition internationale qui réunit les meilleurs sportifs de la planète.
La performance dépend parfois de simples détails entre sportifs pour ce qui est de la concentration et de la préparation physique. La performance dépend aussi d’un comportement sociologique portant sur la mentalité du sportif tunisien lors du mois de Ramadan qui oblige les entraîneurs à placer les athlètes en stages fermés pour les éloigner des influences extérieures et des habitudes du mois saint, notamment les veillées, l’absence de réglementation nutritionnelle en contradiction avec le régime alimentaire strict observé par les sportifs dans les grandes compétitions, de surcroît les Jeux Olympiques.
WMC/TAP
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