
Ont pris part à cette rencontre notamment l’écrivain Ali Louati, et le traducteur Walid Soliman.
A cette occasion, Ali Louati a rendu hommage à Walid Soliman qui ”nous a offert la première traduction en arabe de ” l’ami du défunt”, une œuvre qui a été tournée en film, soulignant l’importance des romans d’Andrei Kourkov” ce polyglotte qui a une prédisposition au dialogue et une vocation à toucher l’âme” dit-il. Parlant du livre dont le titre en arabe est ”Azizi Sadiki Al Marhoum”, il a précisé que ”ce roman est un témoignage vivant de la période qui a suivi la chute du régime soviétique.”
Kourkov ” écrit avec un humanisme profond qui laisse place à l’espoir dans l’avenir de l’homme”. Ce roman relate le parcours d’un homme qui ne désire plus vivre. Il engage un tueur à gage pour l’assassiner, puis il change d’avis.
Lors de cette rencontre, Andrei Kourkov a parlé en français de sa vie, de ses périples et de ses mésaventures, avec beaucoup d’humour, de sincérité et d’optimisme. Parmi les auteurs qui l’on influencé, il a cité Maxime Gorki “qui écrivait dans un style de réalisme noir.”
WMC/TAP
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