
Les analyses effectuées par l’Agence sur quelques échantillons de ces produits ont fait apparaître, en effet, des taux élevés de plomb, d’arsenic, de produits chimiques cancérigènes et de bactéries, précise l’ANCSEP dans un communiqué rendu public, jeudi.
L’agence met en garde contre l’achat de ces produits ou autres cosmétiques d’origine et composition douteuses, surtout ceux vendus sur le marché parallèle, vu le danger qu’ils représentent pour la santé du consommateur.
Elle rappelle que pour les produits cosmétiques, une étiquette mettant en évidence certaines données nécessaires est exigée, en particulier la marque du produit, sa composition, la date de fabrication, sa durée de validité, ainsi que l’adresse de l’usine et celle du distributeur.
Les services de contrôle et de surveillance relevant des ministères de la santé, du commerce et de l’intérieur ont pris les dispositions nécessaires en vue de renforcer le contrôle au niveau des circuits de distribution, notamment les circuits parallèles et procèdent à la saisie des produits sus-indiqués, affirme l’ANCSEP.
WMC/TAP
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