“Une journée de solidarité avec les journalistes tunisiens” au siège de l’UGTT

Plusieurs composantes de la société civile ont exprimé « leur solidarité absolue avec les journalistes tunisiens dans l’accomplissement de leur devoir professionnel » sur la voie de l’instauration d’une “information libre et transparente qui éclaire l’opinion publique au sujet de tout ce qui concerne sa vie politique, économique, sociale et culturelle”.

A l’issue de leur participation à « la journée de solidarité avec les journalistes tunisiens », organisée, jeudi, au siège de l’Union Générale Tunisienne du Travail à Tunis, ces organisations et associations ont fermement condamné dans un communiqué commun « toutes les formes de menace et d’agression physique et morale contre les journalistes » relevant que de telles pratiques « dénotent d’une hostilité flagrante à la liberté d’opinion, d’expression et de la presse et sont en contradiction totale avec les objectifs du processus révolutionnaire du peuple tunisien ».

Le communiqué fait assumer aux autorités publiques “la responsabilité de la protection des journalistes et des communicateurs pour faciliter leur mission dans la recherche de l’information et sa communication à l’opinion publique”.

Ces organisations et associations sont :

– la ligue tunisienne pour la défense des droits de l’Homme,

– le Syndicat National des Journalistes Tunisiens,

– le Syndicat Général de la Culture et de l’Information,

– le Mouvement « Tous pour la Tunisie »,

– le Conseil National des Avocats Tunisiens,

– l’Association pour la protection de l’Environnement de la Bande Côtière,

– Le Conseil National Indépendant de l’Information et de la Communication,

– l’Association « la dignité pour le développement du Nord Ouest »,

– la Ligue Tunisienne des Anciens Prisonniers d’Opinion,

– la Ligue des Avocats Nationalistes,

– la Coordination Nationale Indépendante pour la Justice Transitionnelle,

– l’Association des Femmes Tunisiennes pour la Recherche sur le Développement,

– l’Initiative citoyenne,

– l’Union Générale des étudiants de Tunisie,

– l’Association des juristes sans frontières,

– l’Association des Femmes Démocrates,

– le Réseau Tunisien pour la Lutte contre la Corruption et la malversation et l’Association « Parole Libre ».

WMC/TAP