
A propos de l’application des châtiments comme le fait de couper les mains des voleurs ou flageller les femmes adultères, Dr Chourou a indiqué que ces peines ne peuvent être appliquées si le contexte socio-économique ne s’y prête pas.
Il a assuré qu’avant de parler de pareilles peines, il faut que les citoyens exercent leurs droits et obligations civiques et politiques.
Sadek Chourou a repris l’exemple d’Omar Ibn Al Khattab, deuxième khalife qui a refusé de couper la main à un voleur parce que les conditions sociales étaient très difficiles et que la misère sévissait à l’époque.
Le peuple tunisien doit être à 100% convaincu de la religion qui est l’islam et de l’ensemble des valeurs comme la liberté, la justice. Le Coran étant la principale source pour comprendre la religion, la société et tout ce qui touche à la vie communautaire.
« Nous voulons appliquer progressivement la Chariaâ. Cette dernière doit se faire suivant trois références fondamentales, qui sont le Coran, la Sunna et l’unanimité des savants de la Umma islamique et doit émaner d’une demande du peuple »
L’article intégral sur Almasdar
Lire aussi :
Caricature: M. Chourou…
Les sit-ineurs sont ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, a déclaré Sadok Chourou
Débats sur la nouvelle constitution : La langue Arabe, la Chariaa et le système politique




