
Selon lui ce rendez vous électoral ne doit pas devancer d’autres échéances institutionnelles et politiques plus importantes. Dans l’ordre il a cité : l’institutionnalisation de L’instance Supérieure Indépendante pour les élections (ISIE) d’autant plus que 4 millions de tunisiens ne sont pas encore inscrits sur les listes électorales, l’adoption d’une nouvelle Constitution, la promulgation d’une nouvelle loi électorale et l’organisation d’élections législatives et présidentielles. « C’est seulement après ces rendez-vous qu’on peut parler de municipales », a-t-il-dit.
ABS




