
Par ailleurs, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et d’autres instances internationales considèrent l’excision comme un acte nuisible à la santé physique et psychique de la fillette.
Le ministère indique, dans ce communiqué, que la législation nationale, en particulier le Code de protection de l’enfant, garantit le droit de l’enfant à la protection contre la violence, ajoutant que tout citoyen ayant connaissance d’un cas d’enfant menacé dans sa santé ou sa sécurité est tenu d’alerter les autorités.
Un numéro de téléphone (71.798.603) et une adresse électronique (delegue-enfance.nat.tn) sont mis à la disposition des citoyens pour signaler d’éventuels cas. En outre, le ministère rappelle que la mise en danger d’un enfant est passible de poursuites judiciaires.




