
Il aurait ainsi procédé à des nominations “répressives” à l’encontre de deux membres du personnel Nestlé “sans raisons convaincantes”, d’après des sources de l’entreprise suisse résidente en Tunisie.
Suite à cette décision, les deux personnes concernées ont décidé d’entamer une grève de la faim à partir de mercredi 1er février.
A.B.A




